EDIT : Kaya est maintenant dans sa nouvelle famille 🙂
Kaya est en Famille d’accueil pour le moment, contactez nous, ou bien contactez Susie si Kaya vous intéresse .
A l’adoption :
AVR
2023
Posté par:
EDIT : Kaya est maintenant dans sa nouvelle famille 🙂
Kaya est en Famille d’accueil pour le moment, contactez nous, ou bien contactez Susie si Kaya vous intéresse .
A l’adoption :
Posté par:
Posté par:
Nous sommes très heureux de vous annoncer la 4ème portée de tamaskans en France, et la première de l’élevage Yule Tamaskans.
Makea (Délicatesse du Lignage) rencontrera Lumos (Sylvaen Greyjoy) lors de ses prochaines chaleurs. Si tout va bien, les chiots devraient voir le jour cet été.
Tous les tests de santés sont disponibles sur demandes.
Il y a évidemment déjà beaucoup de demandes, mais chaque demande sera étudiée afin de donner aux chiots les meilleures conditions de vie possibles.
Si vous êtes intéressés, merci d’envoyer un mail à yuletamaskans@gmail.com
Page facebook : Yule Tamaskans
Posté par:
Le club est chargé par son propriétaire du replacement de Passang (né Saxon Dyonisus).
Fiche de Passang dans la database : http://www.tamaskan-database.com/dog/saxon-dionysus
Passang est né le 16 février 2013 en Bulgarie, il est arrivé en France dans la foulée.
C’est un mâle entier de 5 ans. Son propriétaire actuel est musher professionnel et souhaite céder Passang car ce dernier ne « tient plus le rythme » de son nouvel équipage de chiens, plus accès sur la vitesse. De plus, la dynamique de meute ayant changé, Passang a été mis à l’écart par les autres chiens et de légers accrochages ont eu lieu.
Leur propriétaire a donc séparé Passang des autres chiens et l’a isolé dans un parc où il est en sécurité, mais seul.
Attention, Passang est un chien qui a toujours vécu dehors, en meute et travaille depuis ses 8 mois. Il n’a jamais mis les pattes dans une maison !
Son propriétaire pense cependant qu’il pourrait s’y habituer (à la vie en maison). En effet Passang est un chien plutôt calme et très câlin.
Il lui faut juste un peu de temps avant d’accorder sa confiance à un humain « nouveau ».
Il n’a aucune base d’éducation (au delà de la traction), tout est à faire. Il connait quand même son nom et sait venir quand on l’appelle (dans son parc! il n’a jamais connu des promenades en liberté). Il connait également la laisse. C’est un chien au tempérament câlin et doux.
Evidemment, il peut tracter !
Il ne s’entend plus avec les mâles entiers. Il est prédateur sur les petits animaux (y compris les chats, les animaux de basse court etc).
Pour le beau Passang, nous cherchons une famille ayant :
Des frères et sœurs de Passang habitent en France et sont tous des chiens très équilibrés et agréables. Nous pensons que Passang se fera à sa nouvelle vie avec beaucoup de grâce.
Les premiers contacts devront se faire par e-mail auprès du club : cftamaskan@gmail.com
Dans ce premier mail, détaillez les raisons qui vous poussent à candidater pour l’adoption de Passang. Décrivez nous votre lieu de vie, votre mode de vie, les habitants de votre maison (humains, animaux), la manière dont votre habitation est clôturée.
Nous ne répondrons pas aux demandes portant uniquement sur son prix de vente. Passang sera soit stérilisé avant placement, soit placé sous contrat de stérilisation.
Posté par:
Vous pouvez suivre les chiots ici : https://www.facebook.com/pg/LeLignage/photos/?tab=album&album_id=1347268218704827
Seulement pour le plaisir des yeux, ils ont déjà tous trouvé une famille !
Posté par:
Posté par:
Deux nouveaux élevages Français viennent de voir le jour !
Yule Tamaskan qui prévoit une portée pour le premier semestre 2018.
Mulion’s Tamaskan qui a (on espère) une portée en cours de préparation pour fin novembre !
Posté par:
Posté par:
Ima (anciennement Ink), Alba Errowin, va donner naissance d’un jour à l’autre à ses petits.
Le père est Xantho.
Pour plus d’informations, contacter : Tamaskan vom Nordlicht
L’éleveur parle : Allemand, Anglais, et Français (Oui!).
Posté par:
Le Tamaskan est une « race en construction ». Actuellement moins de 600 tamaskans existent dans le monde.
Le comité qui chapeaute la création de la race a été créé en 2006, dix ans après les premiers balbutiements de cette entreprise et s’appelle le Tamaskan Dog Register.
Les éleveurs à l’origine de la race cherchaient à créer un chien ayant l’apparence d’un loup, et le caractère d’un chien de famille tout en conservant les qualités de travail des races nordiques à l’origine de la race.
Actuellement le tamaskan semble prendre un chemin de « chien de famille ».
Il est encore tôt dans l’évolution de la race pour pouvoir décrire un tempérament particulier et fixé, mais certaines grandes tendances émergentes du comportement de nos chiens.
Ce sont ces caractéristiques que je vous propose de découvrir ici.
Un chien de meute
Comme la plupart des chiens primitifs, le tamaskan est un chien de meute.
Le bon côté de cette particularité, c’est que, correctement socialisé (en contact régulier avec des chiens de toute sorte dès son plus jeune âge), le Tamaskan est un chien qui s’entendra bien avec ses congénères, sans ou avec très peu de cas d’agression entre chiens, y compris de même sexe.
Ce sont des chiens très « codifiés », c’est à dire qu’ils sont très démonstratifs et vont utiliser à outrance tout le prisme des attitudes qu’ils ont à leur disposition (port de la queue et des oreilles, « mimiques », vocalisations, crête…).
Pour autant, même si cela peut être très impressionnant, un chien adoptant une posture « dominante » (queue portée haute, oreilles dressées vers l’avant, crête levée, grognements) ne va pas se montrer agressif pour autant.
Face à d’autres chiens-loups, cela ne pose pas de problèmes dans la mesure où les signaux sont compris et où soit le chien d’en face se soumet, soit la remet en place.
Par contre, les races de chien plus « classiques » qui ne sont pas habituées à ce type de communication ont tendance à interpréter ça comme des menaces « réelles et immédiates » et à répondre immédiatement par des morsures.
Ces attitudes se retrouvent aussi, bien qu’avec moins d’intensité, lors des jeux. Il faut un peu d’expérience pour en devenir familier et apprendre quand « ça craint », ou quand « ça craint pas ».
Le « mauvais » côté c’est que, laissé seul, il y a de fortes chances pour que votre tamaskan ne se sente pas bien. Il est, bien entendu, possible d’apprendre à un Tamaskan à rester seul, mais certains développent une anxiété de séparation qui rendra cet apprentissage extrêmement difficile, pour le maître et pour le chien. (Et pour les voisins aussi.)
Même si votre tamaskan gère bien sa solitude, tenez pour acquis qu’il s’ennuie (au mieux) lorsqu’il n’est pas « avec sa meute ».
Ainsi, quelle que soit votre situation, avant de prendre un tamaskan, prévoyez un plan de repli (un second chien, de sexe opposé et de gabari similaire, aménagement des horaires de travail, garderie pour chien….) au cas où ce serait vraiment un souci.
Rappelez-vous, avec ce genre de chiens, toujours prévoir le pire et se réjouir du mieux!
Un chien intelligent
Le tamaskan est souvent (et à raison) décrit comme un chien intelligent.
Mais qu’est-ce qu’un chien intelligent?
C’est un chien qui va apprendre vite. Attention, cela veut dire qu’il apprendra ce que vous souhaitez lui apprendre (pour peu que le message soit clair), mais également de son environnement toute une foule de choses que vous auriez préféré qu’il ignore (ouvrir les portes par exemple).
Le tamaskan apprend vite, mais se lasse tout aussi vite. Ces chiens ont besoin d’une stimulation mentale assez efficace et variée. Par exemple, une balade « courte » (15-20 min) de travail tous les jours (avec les exercices classiques : marche au pied, assis, couché, pas bouger, rappel… et tout ce qui vous amusera.), en plus de la grande balade de jeu qui lui permettra de défouler son trop plein d’énergie.
Un chien qui s’ennuie vite, et aussi un chien potentiellement TRES destructeur. Puisqu’il s’ennuie, le chien va chercher à s’occuper tout seul « comme un grand ». Mais avec ses « fausses bonnes idées » de chien… Or, pour un chien, il y a deux occupations majeures : ronger/creuser/dépiauter ou se promener.
Les tamaskans ne sont pas des chiens fugueurs, ce n’est pas une raison pour ne pas investir dans une clôture adéquate, mais ce n’est pas la première des choses à craindre.
Par contre, tout ce qui est à portée de gueule est voué à être mâchouillé à un moment où un autre. Même lorsque la période « chiot » est finie, lors de poussées d’hormones, de changement d’environnement, ou de report de frustration (votre mâle a senti une chienne en chaleur qu’il ne peut pas rejoindre dans les environs, par exemple), votre mobilier risque fort « d’y passer ».
Que prévoir ?
Du temps à consacrer à votre chien. Un chien en présence humaine h24 ne fera que très peu de bêtises.
Un compagnon chien, pour qu’ils puissent jouer et se dépenser ensemble.
Des d’activités avec votre chien, qui le fatiguent assez (physiquement et mentalement) pour qu’il ait plus envie de dormir que de refaire la déco de votre salon.
Un espace « sacrifié » aux pulsions de décorateur de votre animal (chez nous, c’est 400m² de jardin).
Des objets à mâcher (morceaux de bois, sabots de bœufs, bois de cervidés…. ) qui occupent votre chien et lui serviront de « souffre douleur » si besoin est.
Un pourcentage de perte.
Un chien sportif
C’est de la logique élémentaire, mais étant donné les origines des tamaskans ce sont des chiens qui ont besoin de « faire » des choses. Soit du sport, soit de grandes balades, soit de l’obéissance… Qu’importe au final, tant que vous prévoyez une activité avec eux.
Ils peuvent tout faire (notez cependant que les épreuves de ring leur sont interdites : race non reconnue et, de toute façon, si un jour la race était reconnue elle serait probablement interdite au mordant sportif.)
Prédation
Le dernier point à vraiment prendre en compte, c’est que ce sont des chiens qui ont gardé des réflexes de prédation très marqués.
Il n’y a pas 36 solutions à ça : socialiser votre chiot, le plus tôt et le plus densément possible à toute sorte de bébêtes (chat, oiseaux, chevaux, brebis…) et lui apprendre la cessation. Il est possible d’obtenir des résultats remarquables, Jack Daniels vom Muensterland en est un exemple frappant! Mais cela ne se fait pas « tout seul ».
A faire : Anticiper au maximum, et se garder une sécurité (une longe par exemple) dans des endroits où il est possible de croiser du gibier/de petits animaux domestiques tant que la cessation/rappel n’est pas parfaitement acquis. Sachant que cet ordre, pour un chien, est l’équivalent d’un « doctorat du rappel». C’est possible de l’acquérir, mais ça demande un gros travail.
Et au delà de tout, le plus important avec ce genre de chiens, cela va être de construire une relation, une belle relation de confiance et de respect véritable 🙂
Votre tamaskan sera, au final, ce que vous en ferez, rien n’est plus vrai. A vous de vous donner les moyens de façonner le compagnon que vous avez rêvé d’avoir. Tout est possible !
Article écrit par : Emilie Reydon, Le Lignage
Originellement sous la forme de cet article : Le Tamaskan, un Chien-loup comme les autres